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Herrin Agnes de Vergy

Herrin Agnes de Vergy

weiblich - 1261

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Generation: 1

  1. 1.  Herrin Agnes de VergyHerrin Agnes de Vergy (Tochter von Herr Guillaume de de Vergy und Herrin Clémentine de Fouvent); gestorben in cir 1261.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Französischer Name: Agnès de Vergy
    • Titel (genauer): Herrin de Beauffremont (durch die erste Heirat)
    • Titel (genauer): Lady of Beauffremont (by first marriage)
    • Titel (genauer): Dame de Beauffremont (par son premier mariage)

    Notizen:

    Gestorben:
    spätestens Oktober 1268

    Agnes heiratete Graf Ulrich von Pfirt in cir 1233. Ulrich (Sohn von Friedrich II. von Pfirt und Heilwig von Urach) gestorben am 1 Feb 1275. [Familienblatt] [Familientafel]

    Kinder:
    1. Adelheid von Pfirt gestorben in zw 1311 und 1314.
    2. Beatrix von Pfirt gestorben in spätestens 1287.
    3. Irmgard von Pfirt wurde geboren in 1272 in Hohenpfirt, Ferrette, Haut-Rhin, Alsace, France; gestorben in cir 1329.

Generation: 2

  1. 2.  Herr Guillaume de de VergyHerr Guillaume de de Vergy (Sohn von Herr Hugues de Vergy und Gillette de Trainel); gestorben in cir 1241.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Herr von Vergy Herr von Mirebeau Senechal von Bourgogne
    • Titel (genauer): Lord of Vergy Lord of Mirebeau Senechal of Bourgogne
    • Titel (genauer): Seigneur de Vergy Seigneur de Mirebeau Sénéchal de Bourgogne

    Notizen:

    http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/d/D20650.php

    Vergy, de
    Bedeutendes burgund. Adelsgeschlecht, das ab dem 14. Jh. Lehen in der Waadt innehatte, insbesondere die Herrschaften La Mothe und Champvent (1377), Bourjod (1414) sowie Montricher (1440). Die V. gingen mehrere Heiratsverbindungen mit den Gf. von Greyerz ein und besetzten wichtige Ämter am burgund., franz. und savoy. Hof. Jacques ehelichte 1377 Marguerite von Duin-Vufflens, die Witwe des Gf. Ludwig von Neuenburg und Erbin der Herrschaft Champvent. Seine Nachkommen begründeten den Zweig der Herren V. de Champvent. Guillaume, Urenkel von Jacques, war 1498 Marschall von Burgund und wurde von Karl III. von Savoyen zum Ritter des Annunziatenordens ernannt. Guillaumes Schwester Guillemette ( -> 1) heiratete Claude von Aarberg und verwaltete nach dessen Tod die Herrschaft Valangin.


    Literatur
    – M.-T. Caron, La noblesse dans le duché de Bourgogne: 1315-1477, 1987

    Autorin/Autor: Roberto Biolzi / ANS



    Name:
    Das Haus Vergy ist eine burgundische Familie, die im Mittelalter in der Region eine herausragende Rolle spielte. Es hat seinen Namen von der aus dem 11. Jahrhundert stammenden Ruine Château de Vergy auf dem Combe de Vergy in Reulle-Vergy zwischen Dijon und Beaune im heutigen Département Côte-d’Or.
    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Haus_Vergy

    Gestorben:
    an einem 19 Januar

    Guillaume + Herrin Clémentine de Fouvent. [Familienblatt] [Familientafel]


  2. 3.  Herrin Clémentine de Fouvent (Tochter von Henri I. de Fouvent und Agnes de Neufchâteau).

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Französischer Name: Clémence de Fouvent
    • Titel (genauer): Herrin von Fouvent Herrin von Commercy
    • Titel (genauer): Lady of Fouvent Lady of Commercy
    • Titel (genauer): Dame de Fouvent Dame de Commercy

    Notizen:

    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Seigneurie_de_Commercy

    Seigneurie de Commercy

    La ville de Commercy, de nos jours sous-préfecture de la Meuse en Lorraine, fut jadis nommée « Comarcey ». Elle tire son nom de commarcha ou commarchia, qui signifie « marche » (marcha) ou « frontière », de sa position en bord de Meuse aux frontières de la Lorraine, du Toulois, du Barrois, du Verdunois (territoires alors dans l'Empire), et du royaume de France (Champagne), lorsqu'elle ne faisait partie d'aucune de ces entités tout en étant dans l'Empire1.

    La première mention de la ville date du ixe siècle lors de sa cession par l'empereur d'Allemagne à l'évêché de Metz, et les évêques eux-mêmes la confièrent à des seigneurs afin d'en garantir la sûreté. À cette époque la ville se compose d'un château entouré de fortifications et servant de citadelle aux habitants. En avant des fossés se situe un "pâquis", c'est-à-dire des pâturages (plus tard place du « fer à cheval »), non loin du château se trouvent quelques habitations ainsi que la halle et la hallotte (où sont tuées et débitées les bêtes) formant le cœur de l'ancienne Commercy ; les abords de l'église contiennent un cimetière et des habitations peu nombreuses, bourgeons d'un futur faubourg. À l'emplacement du quartier "Breuil", séparé de la ville par un étang, s'élèvent un couvent de filles et quelques fermes1.

    Le domaine seigneurial comprend la ville et les villages voisins qui sont Lérouville, Pont, Chonville, Morville, Saint-Aubin, Méligny-le-Grand et le Petit, Ménil-la-Horgne, Laneuville-au-Rupt, Ville-Issey, Vaux-la-Grande, Vaux-la-Petite, Vignot, Reffroy, Saulx1. Les seigneurs de Commercy (cf. la liste et la généalogie à la fin de l'article) sont souvent appelés damoiseaux de Commercy, titre dévolu aux seigneurs du Château-Haut, maîtres de la seigneurie principale.

    Les premières mentions de Commercy 2,3
    La première mention de Commercy se trouve dans une chronique d'Éginhard, auteur de la première biographie de Charlemagne ; dans cette chronique datée de 823 on lit "au diocèse de Toul, en la ville de Commercy, il y eut une fille âgée de douze ans, laquelle, après avoir reçu le précieux corps de notre sauveur J-C, à Pâques, fut par dix mois sans manger pain, et depuis fut trois ans sans boire, et après lesdits trois ans, en novembre 825, retourna à la manière et façon des autres, buvant et mangant". Une autre antique mention est faite en 827 ou 831 lorsque Louis le Pieux s'arrête à Commercy lors de son voyage de retour d'Ingelheim après une assemblée tenue à Worms. Il faut attendre ensuite 967 pour trouver une charte de saint Gérard citant un seigneur de Commercy nommé Louis. Une autre mention est celle de 1037 lors du siège de la ville par le comte de Champagne Eudes II de Blois : lors de la prise de la ville un moine nommé Gervinus courut à Verdun avertir Richard alors abbé de Saint-Vanne dans l'espoir que celui-ci puise faire entendre raison aux deux belligérants. À leur retour à Commercy ils arrivèrent trop tard et ne purent qu'assister à l'embrasement de la ville et de l'église. Ils réussirent à sauver les reliques de saint Pantaléon et de saint Étienne qu'un soldat tentait de subtiliser. La tradition relatait que la relique de Pantaléon de Nicomédie avait été rapportée d'Orient par un des seigneurs de Commercy qui avait accompagné l'archevêque Brunon. En plus des dommages infligés à la ville, le couvent de "Breuil" fut dévasté, les religieuses durent le quitter et une partie d'entre elles partirent à Verdun, les autres rejoignirent un monastère dans le Dauphiné nommé Notre-Dame de Commercy puis abbaye de Vernaison. Quelque temps plus tard les bâtiments laissés à l'abandon furent utilisés par des moines bénédictins de l'abbaye de Molesme avec l'accord de Pibon, évêque de Toul qui leur en fit la donation, et l'acte de cette cession sera considéré par les moines comme l'acte de fondation de leur monastère1.

    Les moines de Breuil profitèrent de la nomination sur le siège épiscopal de Richwin de Commercy, fils du seigneur du lieu, pour lui demander et obtenir le patronage de la cure de l'église de la ville, demande qu'ils n'oublièrent pas de faire renouveler en 1136 par l'évêque Henri Ier de Lorraine, et en 1115 ils devenaient seigneur d'une partie de Ville-Issey. La bonne entente devait prendre une autre tournure lorsqu'en 1186 Simon de Commercy fit des dons importants à des chanoines séculiers, il fallut l'intervention de l'évêque pour faire signer aux deux parties un traité de paix1.

    Au cours du xiie siècle les seigneurs de Commercy font d'importantes donations aux abbayes des environs, après avoir donné l'usage des bois de Morley à celle de Jovilliers (nommée alors Jeand'Heurs), Simon donne la terre de Frosley à celle d'Écurey en 11881.

    En 1071 les villageois vont assiéger la ville de Toul mais se heurtent au comte Gérard Ier de Vaudémont qui les force à la retraite. Pour éviter que cela se reproduise l'évêque de Metz propose d'échanger Commercy contre l'abbaye de Bouzonville qui appartenait au duc Thierry II, mais aucun accord ne put être trouvé1.

    La maison de Broyes
    Simon II de Broyes (Simon Ier de Commercy) entre en possession de Commercy à l'occasion de son mariage avec Nicole, fille de Renaud de Traves et d'Élisabeth de Salins et petite-fille d'Humbert III de Salins (fin du XIIe siècle). Simon est le fils d'Hugues III seigneur de Broyes, Châteauvillain, Arc-en-Barrois, Baye, Neele, Villenose et Champigny-sur-Aube (localités sises alors au comté de Champagne, royaume de France), devenu seigneur de Commercy (dans l'Empire) lors de son mariage vers 1144 avec Stéphanie de Bar-Commercy, dame de Commercy (citée en 1141), fille de Renaud Ier, comte de Bar. Afin d'assurer son emprise sur la ville Simon accorde d'importantes libéralités aux maisons religieuses et en 1186 il finance de façon importante une collégiale de chanoines séculiers composée d'un prévôt et de onze chanoines, il leur offre "deux fours banaux", "quarante sous annuellement sur le droit de foire", des corvées (sur la terre Saint-Pantaléon, sur la terre sous la Perrière, sur les prés à Brassieux), des dîmes (sur les anguilles, les sangliers, les cerfs, les vignes, les fruits, le vin, les troupeaux, le moulin de Commercy), des biens à Vadonville, les cens sur la châtellenie de Commercy, des muids sur les moulin de Morlay et de Commercy et des usages sur des terres à Commercy et à Morlay "soit pour bâtir leurs maisons, soit pour leurs ustensiles" ; de son côté l'évêque de Toul Pierre de Brixey participe en offrant les églises de Vadonville, Malaumont, Chonville et Saint-Aubin. Dans la même donation il est stipulé que les chanoines devront prendre en charge spirituellement les lépreux de Commercy ainsi que leur famille et auront la gestion de la "grange aux lépreux, près de Saint-Aubin". Après ces donations Simon combla l'abbaye d'Écurey en lui confiant les terres de Frosley et de Morley où les religieux bâtirent bientôt un moulin.

    Des deux premiers fils de Simon, l'aîné, Hugues IV continue la lignée des seigneurs de Broyes, et le cadet, Gaucher Ier de Broyes-Commercy, poursuit les seigneurs de Commercy. En 1243 Gaucher Ier affranchit les habitants de Laneuville-au-Rupt, puis en 1248 ses fils Gaucher II et Henri rendirent foi et hommage pour le fief de Commercy à l'évêque Jacques de Lorraine1. Parmi les enfants de Gaucher Ier de Broyes-Commercy, on trouve Simon (II) de (Broyes)-Commercy (gendre de Simon III comte de Sarrebruck en tant qu'époux de sa fille Mahaut/Mathilde, et père de Simon IV de Sarrebruck-III de Commercy ci-dessous), puis Gaucher II seigneur de Commercy et Henri seigneur de Montrivel, qu'on vient d'évoquer.

    La maison de Sarrebruck
    En 1265, par le mariage d'Elisabeth de Broyes dame de Commercy, fille ou petite-fille supposée de Gaucher II ci-dessus, avec son cousin Simon IV comte de Sarrebruck/Simon II ou III seigneur de Commercy, fils de Simon (II) de (Broyes)-Commercy et de Mahaut héritière de Sarrebruck ci-dessus, la seigneurie de Commercy entre dans les possession des comtes de Sarrebruck de la Maison de Broyes-Commercy. C'est ainsi que Simon IV reçoit l'investiture des terres de Commercy en 1277. En 1289 il assiste à l'assemblée de Saint-Mihiel qui traitait des querelles entre le comte de Bar et l'abbaye de Beaulieu ; l'année suivante il est témoin de l'accord conclu entre le duc de Lorraine et l'abbesse de Remiremont.

    Le successeur de Simon IV, son fils Jean Ier comte de Sarrebruck et seigneur de Commercy, se reconnaît "homme" du duc de Lorraine Ferry III puis à partir de 1301 il rend hommage à l'évêque de Verdun. Le 13 octobre 1318, après avoir contracté un mariage avec Mahaut d'Apremont issue d'une puissante famille tenant une importante baronnie, Jean Ier se lie au roi de France Philippe V en s'engageant à reprendre en son nom la terre de Commercy : "Le comte reprendra du Roi sa terre de Commercy, c'est à savoir ce qu'il a à Vignoy, à Pont, sans la rivière, ce qu'il a à Hueville, à Aulnois, Ville-Issey, la ville de Neuveville-la-grande et la petite, la maison et la ville de la Horgne, ce qu'il a en la ville de Mesnil, Brossy-en-Blois, la garde de la ville de Velleroy, ce qu'il a à Méligny-le-petit, le grand, Vaux-la-grande, la petite, à Saulx, à St-Aubin, Domremy, Malaumont, la garde de l'abbaye de Rievaux et des granges de ladite abbaye, séant en la terre de Commercy, la garde de la maison de Sommières, celle de Launoy, ce qu'il a à Chonville, Lérouville, excepté quatre-vingt livres de terre ès-dits lieux tenues par Hugues de Châlons…et le Roy lui a octroyé qu'il ne peut mettre le fief hors de sa main par quelque manière que ce soit…" ; en complément il s'engage formellement en 1335, avec l'aval de l'évêque de Metz Adhémar de Monteil, en ajoutant le "droit de Récept" dans son château : "nous comte de Sarrebruck et sire de Commercy ci-dessus dit, pour nous et nos successeurs, avons octroyé, baillé, délivré et transporté au Roi, notre dit seigneur, pour lui et ses successeurs, rois de France, et pour leurs gens et pour toujours, retraite dans notre dit château et forteresse de Commercy, chaque fois qu'il plaira audit Roi, notre seigneur, et à ses gens, et à aesdils successeurs, sans contradiction ou empêchement, loyalement et en bonne foi et sans opposition de qui que ce soit, en en outre, nous voulons et octroyons à jamais que lot sergents et autres à ce commis de notre très cher seigneur, le roi de France, et de ses successeurs, puissent demeurer à Commercy pour garder les défilés et les passages, afin qu'il n'y passe rien sans la permission du Roi ou de son bailli de Vitry". Le comte Jean Ier affranchit les habitants de Commercy en 1324 ; deux ans plus tard, en 1326, il règle sa succession en donnant Commercy (le Château-Haut : seigneurie principale des damoiseaux) et ses dépendances à son fils cadet Jean II de Commercy, et le comté de Sarrebruck ainsi qu'une portion de Commercy dite "la part de Sarrebruck ou le Château-Bas" à son petit-fils le comte Jean II de Sarrebruck/Jean IV de Commercy, fils de son fils aîné le comte héritier Simon (Ier ou II de Sarrebruck-Commercy, ou (V) de Sarrebruck, III ou IV de Commercy ; prédécédé dès 1325)1.

    Le Château-Haut et le Château-Bas
    La "part de Sarrebruck ou le Château-Bas" rassemblait les biens suivants : "Les appartenances de Sarrebruche et toutes les terres venant de son ayeul, situées en Allemagne. La terre de Morley. Vignot. La grange de Sommières. Moitié du bois de Tronz. Le Crochet, le Charmoie. La corvée de Rambausel. Le petit meix de la Soulcière. La maison de Hurtebise avec les usages y attachés dans les bois. Tous les prés de son aïeul en Brassieux et à Salagne. Les basses maisons entre le donjon et le moustier des chanoines avec faculté de faire un donjon sauf ne préjudicier à personne. Des granges et marchaucies sous le châtel. Moitié de la grange vers Meuse et les boucheries devant la marchaucie jusqu'à la Parois. La place de treize pieds entre la boucherie et la grange par l'issue aux Chiens. Les maisons vers les fossés jusqu'à la parois qui va de la salle à la chambre par les fossés et la marchaucie. Le droit au pourpris, derrière le donjon des basses maisons ; celui qui va à la rivière et aux porteries, jusqu'à ce que Simon ait fait l'équivalent des maisons qui s'y trouvent. L'eau que l'on dit le ban des Vieux-Moulins jusqu'aux moulins de la porte ; en outre toute la rivière qui est au-dessus et qui appartient au châtel de Commercy. Le droit de pêche des anguilles au moulin de la porte, sans pouvoir pêcher au-dessous du pâquis devant les moulins. Moitié de Commercy". Par cette décision la seigneurie de Commercy devenait pour moitié le lot de la branche aînée de la Maison de Sarrebruck. Par le mariage en 1353 de Jeanne de Sarrebruck-Commercy († 1381) fille de Jean IV-II († 1381 un peu avant sa fille), avec Jean Ier comte de Nassau-Weilburg (1309-1371), cette part passa à la maison de Nassau : vinrent alors s'installer à Commercy des chevaliers et écuyers allemands qu'il fallut pourvoir en fiefs simples, c'est-à-dire sans château, ils prirent donc possessions des villages proches. Un de ces fiefs, dit des Allemands, était constitué d'un manoir situé au centre de la ville près de l'église : c'était à l'origine une des granges du château ; l'écuyer qui l'occupa était un seigneur de Waldecker, de là vint le nom de "fief de Waldeck".

    Philippe Ier comte de Nassau-Weilburg et de Sarrebruck, après avoir hérité la seigneurie de Commercy-Château-Bas de sa mère Jeanne de Sarrebruck-Commercy ci-dessus, fait rénover le château, nommé alors le Château-Bas par opposition au Château-Haut (appartenant à l'autre branche, celle des damoiseaux), qu'il entoure d'une enceinte et de tours ; de leur côté ses cousins du Château-Haut, Simon III et Amé Ier, tentaient de l'empêcher dans son entreprise en faisant valoir que Philippe n'avait le droit que : "de faire un donjon et non pas chastel ne plus grande forteresse" ; afin de faire taire les querelles il fut convenu en ce qui concernait Philippe : "que le donjon, les braies, le pont, la poterne, pour yssir hors par devers les champs, et les cycles de la poterne, pourraient être élevés sans autre agrandissement ; que la maison lui appartenant, sise au-dessous du château, lui serait rendue ; que le chemin, entre le cimetière de l'église et les braies du château, pour aller à la Grange et Marchaucie, ne serait plus entravé ; enfin que ses sujets particuliers, qui ne seraient pas partis avant deux ans, deviendraient communs." ; en 1403 Philippe abandonne à Amé Ier le chemin et ses alentours en échange de la possibilité pour lui de continuer les fortifications, de s'approprier la porte "Bellependst" et la tour "le chapiron" mais aussi de racheter les maisons situées à proximité de son château. Afin de s'assurer une protection réciproque les deux seigneurs de Commercy ratifient un traité d'aide et de bonne entente le 16 mai 1403 en présence de Raoul de Coucy, évêque de Metz et du duc Robert Ier de Bar : "Nous Philippe comte de Nassaw et de Sarrebruche et Ameis de Sarrebruche, seigneur de Comarcey et de Venizy faisons savoir et connaissance à tous ceux qui ces présentes lettres verront et orront que nous les parties susdites par commun accord par diligent traité et mure délibération sur ce eue par l'avis et conseil de nos seigneurs et communs amis pour bien de par durable paix de accord et benigne volonté et tranquillité que nous desirons a toujours mais être entre nous et nos hoirs qui après nous seront avons fait et juré faisons et jurons nous et un chacun de nous pour nous nos hoirs et successeurs après nous une bonne et loyale bourgfritte sure c'est-à-dire un bon et loyal assurement qui sera dit et appelé trêve et sera tenue et wardée en nos forteresse et ville de Comarcey…"1.

    La branche cadette de Commercy-Sarrebruck, qui tenait la seigneurie de Commercy-Château-Haut (les seigneurs sont les damoiseaux : Jean II ci-dessus < Simon V ou II et Jean III < Simon VI-III et Amé Ier < Robert Ier (le Damoiseau de Commercy, un aventurier redoutable, chef des Ecorcheurs) x 1417 Jeanne de Pierrepont comtesse de Roucy et comtesse de Braine, dame de Montmirail, fille du comte Jean VI de Roucy-Braine : il devient alors le comte Robert III de Roucy et VII de Braine < Amé II < Robert II, comte Robert IV et VIII < Amé III) s'éteint en 1525 avec le décès d'Amé III de Sarrebruck-Commercy qui n'avait eu qu'un fils, Robert, mort en bas âge ; c'est donc sa sœur Philippine qui hérite du Château-Haut et de Montmirail et les apporte à son époux Charles de Silly, seigneur de Rochefort-en-Yvelines : voir plus bas la suite du Château-Haut.

    Quant à "la part de Sarrebruck, Château-Bas", elle continue avec Louis d'Anjou, fils de René d'Anjou et d'Isabelle Ire de Lorraine, qui achète le Château-Bas en 1444 à Jean II de Nassau-(Weilburg)-Sarrebruck fils cadet de Philippe Ier ci-dessus (l'aîné, Philippe II, continue les comtes de Nassau-Weilbourg)1.

    La maison de Lorraine
    En effet, Jean II de Nassau-(Weilburg)-III comte de Sarrebruck-V de Commercy vend le 3 février 1444 la seigneurie du "Château-Bas" à Louis marquis de Pont-à-Mousson, fils de René d'Anjou et d'Isabelle Ire de Lorraine ; après le décès de ce dernier sans enfant, ses biens commerciens sont remis à son père René d'Anjou qui nomme un gouverneur le 12 avril 1466 en la personne de Jehan de Sevigny avec le titre de "châtelain, prévôt, receveur et gruyer" ; à cette époque est réalisé un recensement de la population de Commercy1.

    [afficher]
    Recensement de 1466

    Après le décès du roi René la seigneurie de Commercy-Château-Bas fait partie des possessions de son petit-fils le duc René II de Lorraine. Celui-ci entre en guerre contre Charles le Téméraire qu'il défait au siège de Nancy, en 1477, avec l'aide de Nicolas de Montfort. Ce dernier est membre d'une famille noble italienne qui se hissa jusqu'au rang de vice-roi d'Italie.

    - En remerciement de ses services René nomme Nicolas de Montfort conseiller et chambellan et lui donne, entre autres, la seigneurie de Château-Bas le 5 juillet 1472 : "René par la grace de Dieu roi de Jerusalem, de Sicile, d'Arragon, de l'Île de Sicile, de Valence, Maillorques, Sardaigne et Corseque, Duc d'Anjou, de Bar et Comte de Barcelonne, de Provence, de Forcalquier, de Piemont. À tous ceux qui ces présentes lettres verront, Salut. Comme par autres nos lettres patentes et pour les causes contenues en icelles nous ayons donné et octroyé à notre très cher et feal conseiller et chambellan Nicolas de Montfort comte de Campbas, en notre royaume d'Italie, nos ville, châtel, terre et seigneurie de Commercy, en notre dit duchié de Bar, à sa vie durant…". En 1478, Nicolas de Montfort, comte de Campobasso, seigneur de Commercy, revend sa seigneurie du Château-Bas au duc de Lorraine René II.

    - En 1487 le duc René remet en récompense la seigneurie de Commercy-Château-Bas à son grand-écuyer Gérard d'Avillers. À cette époque Château-Bas est en mauvais état et ne consiste guère qu'en une grosse tour ronde, aussi Gérard d'Avillers entreprend d'important travaux. Il achète tout d'abord une grande quantité de terrains puis fait élever une nouvelle tour carrée et des fortifications constituées de murailles, de tourelles et d'un pont-levis. À sa mort en 1526, sans enfants de sa femme Marguerite d'Haraucourt, la seigneurie retourne encore une fois au duc de Lorraine.

    - Jacques de Larban, dit de Villeneuve, est un chevalier, seigneur de Beauvoisin dans le Gard et gentilhomme au service du duc Antoine de Lorraine. Il épouse Philippine d'Anneville, fille de Jean d'Anneville bailli de Bar qui lui apporte la terre de Kœur. Le 19 août 1530 le duc Antoine lui échange contre celle de Commercy : "…nous Renée Duchesse, désirons ravoir et avons affection à ladite maison de Kœurs pour notre état, comme lieu à nous, plus agréable, délectable, plus solacieux et récréant à notre état que ladite seigneurie de Commercy". Jacques de Larban devient donc seigneur de Commercy-Château-Bas, possession qu'il laissera à sa fille Antoinette en 1542. Antoinette épouse Jean d'Urre, seigneur de Thessière, maître-d'hôtel ordinaire du duc de Lorraine et capitaine "des châteaux, villes et châtellenies de Foug", en 1545, par décision de Christine de Danemark alors duchesse de Lorraine. À la mort d'Antoinette le 29 octobre 1570 la seigneurie est transmise à son fils Charles († 1629, honoré pour sa piété et sa bienfaisance) mais Jean d'Urre en conservera le titre seigneurial jusqu'à sa mort en 15871. La fille de Charles, Dorothée d'Urre de Teyssières épouse Jean des Armoises < Louis grand-sénéchal de Lorraine < Pierre Louis Joseph des Armoises, qui échange en 1722 Commercy-Château-Bas au duc Léopold contre le marquisat de Spincourt : voir plus bas.

    Les guerres à Commercy
    - En 1542 l'empereur Charles Quint tente une incursion dans le duché de Lorraine et marche sur Commercy : aussi, pour assurer sa défense, le gouverneur du château s'applique à mettre celui-ci en état de siège. Malgré tout le duc de Guise entre dans la ville en 1544, la halle est incendiée, les tours du château démantelées, les digues détruites ainsi que le pont de pierre et l'église des chanoines utilisée comme corps de garde. Les envahisseurs restent deux mois, après quoi ils quittent la seigneurie1.

    - Pendant la Fronde, 1652 va voir "l'armée des princes" commandée par Condé, venir s'emparer de Bar et de Ligny et par la même occasion mettre le siège devant Commercy. L'ennemi avait envoyé quarante dragons pour recevoir la reddition du Château-Haut ; cela fait, une garnison de cinq cents hommes avec à sa tête le baron de Berlot prend possession de la ville. Dans le même temps des troupes françaises viennent d'arriver dans les environs et un ancien militaire de Commercy connu sous le nom de "la Grande Rose" se propose pour entrer en contact avec elles et les introduire dans la place. Le 4 décembre, à cinq heures du matin, plusieurs escadrons escaladent les murailles et prennent le corps de garde. Le Château-Haut est le lieu de rudes combats qui durent jusqu'au 6 décembre. Alors la ville est soumise au pillage tant des envahisseurs que des troupes françaises ; la population n'a que le temps de fuir. Pendant tout ce temps le baron de Berlot était resté dans le Château-Bas qu'il avait fait fortifier. Le pillage terminé il se rend maître de la ville, qu'il devait quitter le 8 juillet 1652 pour être remplacé par le commandant Dumont et quatre-vingts hommes. Apprenant cela les Français tentent une nouvelle incursion dans la ville. Profitant d'une fenêtre ouverte dans la muraille quelques soldats pénètrent dans la ville et ouvrent une porte dans la rue de Chanoines pour permettre à d'autres de les rejoindre. Tous se cachent dans l'église et attendent le passage de la ronde de nuit afin de s'emparer des clés permettant d'ouvrir les portes de la ville. Après avoir neutralisé le guet, les Français se rendent au pied des murailles du Château-Bas et entreprennent de desceller quelques pierres de la muraille. Pénétrant dans le donjon ils forcent les occupants à faire retraite dans la Tour-Noire beaucoup plus difficile à prendre mais dépourvue d'artillerie. Après toute une nuit de fusillade la garnison se rend à six heures du matin et sort honteuse sous les moqueries de ceux qui tenaient encore Château-Haut qui leur crient "qu'il n'y avait pas de quoi épouvanter un agneau et qu'on a fait peur à un mouton". Puis c'est au tour du Château-Haut d'être l'objet d'un siège des Français, ceux-ci construisent un pont de bateaux sur la rivière ainsi qu'un chemin couvert depuis la chapelle Sainte-Anne. Une batterie de canons est installée devant la même chapelle et ouvre le feu dès le 25 juillet à quatre heures du matin. Fort peu nombreux et moins bien armés, les occupants de Château-Haut se rendent à seize heures4.

    Mehr unter obenstehendem Link..

    Notizen:

    Kinder:
    - Hugues, 1223/27 zu Cherlieu
    - Henri I. († 1263), Sire de Mirebeau, d’Autrey, de Fouvent et de Champlitte, Seneschall von Burgund, bestattet in Cherlieu; ⚭ 1248 Elisabeth de Chalon († 1. April 1277), Tochter von Jean I. le Sage, Sire de Salins (Haus Burgund-Ivrea), Witwe von Henri de Vienne, Seigneur de Vadans, geschieden von Ulrich II., Graf von Pfirt (Haus Scarponnois)
    - Marie, 1237 bezeugt; ⚭ um 1230 Guy III. de Verdun-sur-le-Doubs et de Vouvry († 1273)
    - Agnès († 1261/September 1268), Dame de Morey; ⚭ (1) Pierre I. de Bauffremont († wohl 1240) (Haus Bauffremont); ⚭ (2) Ulrich II. († 1. Februar 1275), 1227 Graf von Pfirt (Haus Scarponnois)
    - Guy, 1239 bezeugt; ⚭ Flore d’Antigny (Haus Antigny)

    Kinder:
    1. Hugues de Vergy wurde geboren in 1210.
    2. 1. Herrin Agnes de Vergy gestorben in cir 1261.


Generation: 3

  1. 4.  Herr Hugues de VergyHerr Hugues de Vergy wurde geboren in 1141 (Sohn von Guy de Vergy und Alix (Adelaïs) de Navilly); gestorben in 1217.

    Notizen:

    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Hugues_de_Vergy

    Hugues de Vergy (1141-1217) est le seigneur de Vergy de 1168 à 1198, et seigneur d'Autrey et de Mirebeau, fils de Guy seigneur de Vergy et d'Adélaïde de Beaumont, fille de Hugues V de Beaumont

    Biographie
    Il succède à son père Guy de Vergy. Il est le 5e de la lignée des sires de Vergy et descendait de Henri Ier duc de Bourgogne, frère de Hugues 1er Capet. Le duc Hugues III de Bourgogne lui conteste son droit de seigneurie en mettant le siège devant la citadelle de Vergy.

    En 1186, Hugues de Vergy fait appel au roi Philippe II de France qui porte l'ost en Bourgogne pour défendre son vassal. Le duc de Bourgogne est condamné à payer 30 000 livres parisis en dédommagement de ses nombreuses exactions et à livrer 3 châteaux en garantie jusqu'au paiement. Hugues de Vergy est confirmé dans sa seigneurie de Vergy qu'il abandonna au roi de France en remerciement de son intervention.

    Philippe II se garde le droit de seigneurie sur les terres de Vergy. Hugues III de Bourgogne se révélant dans l'incapacité financière de payer l'amende pour libérer ses châteaux, dédommager les églises qu'il avait pillées et Hugues de Vergy pour les dommages qu'il avait causé sur ses terres, Philippe II lui fait grâce des 30 000 livres parisis et lui rend ses châteaux.

    Finalement, le différend est soldé en 1199. La seigneurie de Vergy échoit à la maison de Bourgogne par le mariage d'Alix de Vergy avec Eudes III de Bourgogne.

    Son fils Guillaume Ier lui succède.


    Postérité
    Hugues de Vergy avait épousé en 1175 Gillette de Trainel, fille de Garnier II de Trainel et d'Adèle de Marigny. Ils ont eu ensemble :

    Simone, mariée à Thierry de Rougemont
    Nicole, mariée à Anséric V de Montréal
    Alix de Vergy, mariée au duc Eudes III de Bourgogne
    Guillaume Ier, marié à Clémence Dame de Fouvent
    Hugues, seigneur de Belvoir, marié à Simonette
    Garnier
    Gui, évêque d'Autun

    Voir aussi
    Maison de Vergy

    Hugues heiratete Gillette de Trainel in 1175. [Familienblatt] [Familientafel]


  2. 5.  Gillette de Trainel (Tochter von Garnier II. de Trainel und Adèle de Marigny).

    Notizen:

    Hugo und Gillette hatten sieben Kinder, drei Töchter und vier Söhne.
    -Simone, mariée à Thierry de Rougemont
    -Nicole, mariée à Anséric V de Montréal
    -Alix de Vergy, mariée au duc Eudes III de Bourgogne
    -Guillaume Ier, marié à Clémence Dame de Fouvent
    -Hugues, seigneur de Belvoir, marié à Simonette
    -Garnier
    -Gui, évêque d'Autun

    Kinder:
    1. Alix von Vergy wurde geboren in cir 1182; gestorben in 1252.
    2. 2. Herr Guillaume de de Vergy gestorben in cir 1241.
    3. Guillemette von Vergy wurde geboren in cir 1457; gestorben am 13 Jul 1543 in Valangin; wurde beigesetzt in Stiftskirche Valngin.

  3. 6.  Henri I. de Fouvent wurde geboren in cir 1165 (Sohn von Humbert III. de Fouvent und Clementine de Monigny); gestorben in 1228 in Fouvent, Frankreich.

    Henri + Agnes de Neufchâteau. Agnes (Tochter von Herr Hugues III. de Broyes und Stéphanie de Bar-Commercy) wurde geboren in cir 1160 in Commercy, Frankreich; gestorben in 1221 in Fouvent, Frankreich. [Familienblatt] [Familientafel]


  4. 7.  Agnes de NeufchâteauAgnes de Neufchâteau wurde geboren in cir 1160 in Commercy, Frankreich (Tochter von Herr Hugues III. de Broyes und Stéphanie de Bar-Commercy); gestorben in 1221 in Fouvent, Frankreich.
    Kinder:
    1. 3. Herrin Clémentine de Fouvent


Generation: 4

  1. 8.  Guy de VergyGuy de Vergy (Sohn von Simon de Vergy und Elisabeth ?); gestorben in 24 Feb oder 4 Apr 1191 in Schlachtfeld vor Akkon, Israel.

    Notizen:

    English: https://en.wikipedia.org/wiki/Siege_of_Acre_(1189%E2%80%9391)

    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Si%C3%A8ge_de_Saint-Jean-d%27Acre_(1189-1191)



    https://de.wikipedia.org/wiki/Belagerung_von_Akkon_(1189%E2%80%931191)

    Die Belagerung von Akkon (28. August 1189 bis 12. Juli 1191) war das wichtigste Ereignis des Dritten Kreuzzuges im Heiligen Land. Nach zweijähriger, verlustreicher Belagerung gelang den Kreuzfahrern schließlich die Rückeroberung der strategisch wichtigen Stadt Akkon, die für die folgenden 100 Jahre die Hauptstadt des Königreichs Jerusalem sein sollte.

    Vorgeschichte
    Nachdem Saladin die Kreuzfahrer am 4. Juli 1187 in der Schlacht bei Hattin entscheidend geschlagen hatte, konnte er seinen Gegnern nahezu ungehindert einen Großteil des Königreichs Jerusalem entreißen, darunter auch die Städte Akkon und (am 2. Oktober) Jerusalem. Die Kreuzfahrer kontrollierten danach nur noch die Städte Tyros, Tripolis und Antiochia, die Saladin im folgenden Jahr ebenfalls, wenn auch erfolglos, angriff.

    Die Nachricht vom Verlust Jerusalems und Palästinas löste in Europa große Bestürzung aus, schnell wurde die Forderung nach Gegenwehr laut, und noch im Oktober 1187 rief Papst Gregor VIII. (1187–1187) zum Dritten Kreuzzug auf, den auch sein Nachfolger Clemens III. (1187–1191) weiter betrieb.

    Tyros
    In Tyros hatte sich Konrad von Montferrat verschanzt und Saladins Angriff Ende 1187 erfolgreich abgewehrt, woraufhin der Sultan sich erst anderen Aufgaben zuwandte, dann jedoch, als Mitte 1188 die ersten Verstärkungen aus Europa über das Mittelmeer nach Tyros kamen, versuchte, die Übergabe der Stadt auf dem Verhandlungswege zu erreichen, unter anderem auch dadurch, dass er den bei Hattin gefangengenommen König Guido von Lusignan freiließ – was jedoch den schwelenden Streit zwischen Konrad und Guido nur offen eskalieren ließ: Guido hatte die Katastrophe von Hattin verschuldet, Konrad hatte Tyros vor den Muslimen gerettet. Guido erschien vor Tyros, aber Konrad ließ ihn mit der Begründung, dass er die Stadt treuhänderisch für die anreisenden Monarchen verwalte, die über die Zukunft der Kreuzfahrerstaaten zu entscheiden hätten, nicht in die Stadt. Guido zog ab und erschien im April 1189 gemeinsam mit seiner Ehefrau, Königin Sibylle, erneut vor Tyros, wurde wiederum abgewiesen, und schlug vor den Toren der Stadt sein Feldlager auf.

    Im Spätfrühling 1188 hatte König Wilhelm II. von Sizilien eine Flotte mit 200 Rittern abgeschickt; am 6. April 1189 traf der Erzbischof Ubaldo von Pisa mit 52 Schiffen ein, und Guido gelang es, beide Kontingente auf seine Seite zu ziehen. Im August, Konrad verweigerte ihm weiterhin den Zutritt zur Stadt, brach er seine Zelte ab und machte sich auf den Weg nach Süden, um Akkon anzugreifen: er und seine Truppen auf der Küstenstraße, während die Pisaner und Sizilianer übers Meer fuhren: Guido brauchte dringend eine feste Basis, von der aus er den Gegenschlag gegen Saladin organisieren konnte, und da Tyros es nicht war, richtete er seinen Blick auf die 50 Kilometer südlich gelegene Stadt.

    Belagerung von Akkon
    Die Hafenstadt Akkon lag auf einer nach Süden gerichteten Halbinsel im Golf von Haifa. Östlich der Altstadt befand sich der vor dem offenen Meer geschützte Hafen, im Westen und Süden die Küste mit einer starken Deichmauer; gegen das Festland wurde Akkon durch einen doppelten, mit Türmen bewehrten Wall abgeriegelt. Aufgrund der dem Meer abgewandten Lage des Hafens galt dieser als der einzige an der gesamten Levanteküste, an dem bei jedem Wetter Schiffe be- und entladen werden konnten; Akkon war daher für die Kreuzfahrer strategisch besonders wertvoll. Die muslimische Besatzung der Stadt dürfte, als Guido am 28. August 1189 eintraf, etwa doppelt so groß gewesen sein wie seine eigene Mannschaft. Er versuchte, das Überraschungsmoment durch einen Sturmangriff ausnutzen, scheiterte aber damit und ließ sich vor der Stadt nieder, wo er ein befestigtes Lager errichtete und auf Verstärkung wartete, die auch wenige Tage später begann, vom Meer her einzutreffen: Eine Flotte von Dänen und Friesen ersetzte die Sizilianer, die wegen des Tods ihres Königs Wilhelm II. abgezogen wurden, dann kamen französische und flämische Soldaten unter Jakob von Avesnes, Heinrich I. von Bar, Andreas von Brienne, Robert II. von Dreux und dem Bischof Philipp von Beauvais, Roberts Bruder, Deutsche, unter der Führung des Landgrafen Ludwig III. von Thüringen, dabei auch Otto I. von Geldern, sowie Italiener unter dem Erzbischof Gerhard von Ravenna und dem Bischof von Verona. Und als es Ludwig gelang, Konrad umzustimmen, kam die Verstärkung auch aus dieser Richtung.

    Als Saladin über die Entwicklung informiert wurde, zog er sofort seine Vasallen zusammen und zog ebenfalls nach Akkon, wo er am 15. September mit seinem Angriff auf Guidos Feldlager ebenfalls scheiterte.

    Schlacht von Akkon
    Am 4. Oktober 1189 dann kam es östlich der Stadt zur Konfrontation. Die Kreuzfahrerarmee unter Guido von Lusignan stellte sich der Armee Saladins zum Kampf. Die christliche Armee bestand aus den Feudalherren des Königreichs, vielen kleinen Kontingenten europäischer Kreuzfahrer und den Ritterorden, die muslimische aus Kontingenten aus Ägypten, Turkestan, Syrien und Mesopotamien.

    Die Muslime standen im Halbkreis östlich der Stadt mit Blick auf Akkon, die Kreuzfahrerarmee ihnen gegenüber, die Armbrustschützen in vorderster Front, die schwere Kavallerie in der zweiten Linie. In der späteren Schlacht von Arsuf sollten die Christen zusammenhängend vorstoßen, diese Schlacht begann mit einem Angriff der Tempelritter gegen Saladins rechten Flügel. Die Tempelritter waren dabei so erfolgreich, dass der Gegner Verstärkungen von anderen Stellen des Schlachtfelds schicken musste. Dadurch traf der langsame Vormarsch des christlichen Zentrums gegen Saladins eigenes Korps, in das die Armbrustschützen den Weg frei schossen, auf keinen großen Widerstand. Saladins Zentrum und seine rechte Flanke wurden in die Flucht geschlagen.

    Während die Christen ihnen nachsetzten und ihre Reihen sich auflösten, auch um zur Plünderung überzugehen, ließ Saladin seinen frischen linken Flügel und seine leichte Kavallerie auf sie los, als sich die Christen mit ihrer Beute zurückziehen wollten. Kein organisierter Widerstand wurde mehr geleistet. Saladins Truppen schlugen die Flüchtenden nieder, bis sie von den ebenfalls frischen Truppen vom rechten Flügel der Christen aufgehalten wurden. In diesen Kampf wurde Guidos Reserve geworfen, die die Sarazenen in Akkon zurückhalten sollte, welche daraufhin, etwa 5000 Mann stark, die Stadt verließen und sich nördlich davon sammelten, wo sie sich mit dem Rest von Saladins rechten Flügel vereinigten und über die Tempelritter herfielen, die bei ihrem Rückzug nun schwere Verluste erlitten. Gérard de Ridefort, der Großmeister der Tempelritter, und Andreas von Brienne wurden getötet. Konrad von Montferrat musste von Guido freigekämpft werden. Am Ende verschanzten sich die Kreuzfahrer in ihren eigenen Stellungen, aus denen Saladin sie auch in der Folgezeit nicht wieder herausbekam, so dass der Erfolg der Schlacht für ihn unvollständig blieb.

    Mehr unter obenstehendem Link..



    Gestorben:
    Bei der Belagerung von Akkon im dritten Kreuzzug.

    Guy + Alix (Adelaïs) de Navilly. Alix (Tochter von Herr Gauthier de Navilly und Mathilde de la Ferté) gestorben in nach 1179. [Familienblatt] [Familientafel]


  2. 9.  Alix (Adelaïs) de Navilly (Tochter von Herr Gauthier de Navilly und Mathilde de la Ferté); gestorben in nach 1179.
    Kinder:
    1. 4. Herr Hugues de Vergy wurde geboren in 1141; gestorben in 1217.

  3. 10.  Garnier II. de Trainel

    Garnier + Adèle de Marigny. [Familienblatt] [Familientafel]


  4. 11.  Adèle de Marigny
    Kinder:
    1. 5. Gillette de Trainel

  5. 12.  Humbert III. de Fouvent wurde geboren in cir 1148 (Sohn von Girard de Fouvent und Clémentine de Montfaucon); gestorben in 1196 in Fouvent, Frankreich.

    Notizen:

    Fouvent-Saint-Andoche

    Deutsch: https://de.wikipedia.org/wiki/Fouvent-Saint-Andoche

    English: https://en.wikipedia.org/wiki/Fouvent-Saint-Andoche

    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Fouvent-Saint-Andoche

    Humbert + Clementine de Monigny. Clementine wurde geboren in 1140; gestorben in Fouvent, Frankreich. [Familienblatt] [Familientafel]


  6. 13.  Clementine de Monigny wurde geboren in 1140; gestorben in Fouvent, Frankreich.
    Kinder:
    1. 6. Henri I. de Fouvent wurde geboren in cir 1165; gestorben in 1228 in Fouvent, Frankreich.

  7. 14.  Herr Hugues III. de BroyesHerr Hugues III. de Broyes (Sohn von S.I. de Broyes und Herrin Félicité von Brienne).

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Herr von Broyes
    • Titel (genauer): Lord of Broyes
    • Titel (genauer): Seigneur de Broyes Seigneur de Châteauvillain Seigneur d'Arc

    Notizen:

    English: https://en.wikipedia.org/wiki/Hugh_III_of_Broyes



    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Hugues_III_de_Broyes

    Hugues III de Broyes, (vers 1125 - 1199), seigneur de Broyes, seigneur de Châteauvillain et seigneur d'Arc. Il est le fils de Simon Ier, seigneur de Broyes, († 1132) et de Félicité de Brienne († 1178), fille d'Erard Ier, comte de Brienne.

    Biographie
    Hugues III de Broyes participe à la Deuxième Croisade. Avant ce départ en 1147 il faisait, comme son père, des donations à l'Abbaye Notre-Dame-d'Andecy1, l'étang et le moulin à Chevergny. Il renouvelait ce geste, de concert avec Jean de Pleurs d'un droit d'usage de la forêt de Montmort, en 1154 puis un terrage entre Champaubert et Bannay vers 1160.

    Il faisait aussi élever des châteaux à Baye et Châteauvillain vers 1160. En 1189 un conflit envers son suzerain Henri II de Champagne laissait son château de Broyes en ruines.

    Union
    Il épouse avant le 22 octobre 1144 Stéphanie de Bar, (vers 1125 - avant 1178), dame de Commercy, fille de Renaud Ier, comte de Bar. Quatre enfants du premier mariage :

    Simon II, seigneur de Broyes et de Commercy (1145 † 1202/08.,
    Emeline.
    Sophie.
    Agnès, (1160 - 1221), dite aussi "Agnès de Neufchâteau", elle épouse en premières noces Simon de Brixey, (vers 1125 - 1190), seigneur de Bourlémont, puis en secondes noces vers 1180 Henri de Fouvent, (? - avant 1229), seigneur de Fouvent, de Fontain et de Champlitte.
    Il épouse en secondes noces en 1178 Isabeau de Dreux, dame de Baudement (1160 † 1239), fille de Robert Ier de Dreux et d'Agnès de Baudemont.

    Deux enfants du deuxième mariage :

    Emeline, (? - 1248/49), elle épouse en premières noces vers 1202 Eudes II de Champlitte, (? - Constantinople avant le 16 mai 1204), puis en secondes noces en 1205 Erard II de Chacenay, (? - 16 juin 1236).
    Simon Ier, "le Jeune", (? - 1259/60), seigneur de Châteauvillain.
    Notes et références
    ↑ Aristide Millard, Histoire de l'abbaye d'Andecy , Châlons-sur-Marne : F. Thoville, tome II 1890, p. 25.
    Sources
    Médiéval Généalogie : Seigneurs de Broyes [1] [archive]
    Geneall, Hugues III, seigneur de Broyes [2] [archive]
    Fabpedigree, Hugues III de Broyes [3] [archive]
    Roglo, Hugues de Broyes [4] [archive]



    Liste des seigneurs de Broyes
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_seigneurs_de_Broyes

    Hugues heiratete Stéphanie de Bar-Commercy in vor 22 Okt 1144. Stéphanie (Tochter von Graf Rainald I. von Bar, (von Mousson) (Scarponnois), der Einäugige und Gräfin Gisela von Vaudémont (von Lothringen)) wurde geboren in cir 1125; gestorben in vor 1178. [Familienblatt] [Familientafel]


  8. 15.  Stéphanie de Bar-Commercy wurde geboren in cir 1125 (Tochter von Graf Rainald I. von Bar, (von Mousson) (Scarponnois), der Einäugige und Gräfin Gisela von Vaudémont (von Lothringen)); gestorben in vor 1178.

    Notizen:

    https://fr.wikipedia.org/wiki/St%C3%A9phanie_de_Bar-Commercy

    Stéphanie de Bar-Commercy, (vers 1125 - avant 1178), est la fille de Renaud Ier de Bar et de Gisèle de Vaudémont, elle est désignée en 1141 dans l'acte de fondation du l'abbaye de Riéval en qualité de "dame de Commercy"1.

    Elle épouse avant le 22 octobre 1144 Hugues III de Broyes de qui elle a2 :

    Simon qui prend le nom de Simon II de Broyes-Commercy,
    Emmeline,
    Sophie,
    Agnès, (1160 - 1221), dite aussi "Agnès de Neufchâteau", elle épouse en premières noces Simon de Brixey, (vers 1125 - 1190), seigneur de Bourlémont, puis en noces secondes vers 1180 Henri de Fouvent, (? - avant 1229), seigneur de Fouvent, de Fontain et de Champlitte.
    Sources
    Charles Emmanuel Dumont, Histoire de la ville et des seigneurs de Commercy, Volume 1, N. Rolin, 1843 (lire en ligne [archive]), p. 21 à 23
    Médiéval Généalogie [2] [archive]
    Geneall, Stéphanie de Bar, dame de Commercy [3] [archive]
    Fabpedigree, Stéphanie de Bar-le-Duc [4] [archive]
    Roglo, Stéphanie de Bar [5] [archive]
    Notes et références
    1 Histoire de la ville et des seigneurs de Commercy , Volume 1
    2 La chronique d'Aubry de Trois-Fontaines, en 1170, fait référence à "quarta sorore eiusdem comitis (la quatrième sœur du comte = ici Renaud II de Bar)" est la mère de "Symon de Commarceio (Simon II de Broyes-Commercy) et due sorores illius (et de ses deux sœurs)" Médiéval Généalogie, Stéphanie de Bar [1] [archive]

    Notizen:

    Stéphanie und Hugues III. hatten vier Kinder, einen Sohn und drei Töchter.
    Simon de Broyes (1145-after May 1208). Married Nicole of Salins.
    Emmeline de Broyes
    Sophie de Broyes
    Agnes de Broyes, married first Simon of Brixey, Lord of Bourlémont, and second, Henry of Fouvent

    Kinder:
    1. 7. Agnes de Neufchâteau wurde geboren in cir 1160 in Commercy, Frankreich; gestorben in 1221 in Fouvent, Frankreich.


Generation: 5

  1. 16.  Simon de VergySimon de Vergy (Sohn von Herr Savary (Savaricus, Severicus) de Châtel-Censoir und Herrin Elisabeth von Beaune (Vergy)); gestorben in nach 1131.

    Simon + Elisabeth ?. [Familienblatt] [Familientafel]


  2. 17.  Elisabeth ?

    Notizen:

    Unbekannter Name nach Medlands, vielleicht Elizabeth nach Duchesne.

    Unknown name according to Medlands, maybe Elizabeth according to Duchesne.

    Nom inconnu selon Medlands, peut-être Elisabeth selon Duchesne.

    Kinder:
    1. 8. Guy de Vergy gestorben in 24 Feb oder 4 Apr 1191 in Schlachtfeld vor Akkon, Israel.

  3. 18.  Herr Gauthier de Navilly

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Herr von Navilly
    • Titel (genauer): Lord of Navilly
    • Titel (genauer): Seigneur de Navilly

    Gauthier + Mathilde de la Ferté. [Familienblatt] [Familientafel]


  4. 19.  Mathilde de la Ferté
    Kinder:
    1. 9. Alix (Adelaïs) de Navilly gestorben in nach 1179.

  5. 24.  Girard de Fouvent wurde geboren in cir 1125 (Sohn von Herr Humbert II.); gestorben in 1171 in Palästina.

    Girard + Clémentine de Montfaucon. Clémentine (Tochter von Richard II. de Montfaucon und Sophia von Montbéliard) wurde geboren in cir 1130; gestorben in 1163 in Fouvent, Frankreich. [Familienblatt] [Familientafel]


  6. 25.  Clémentine de MontfauconClémentine de Montfaucon wurde geboren in cir 1130 (Tochter von Richard II. de Montfaucon und Sophia von Montbéliard); gestorben in 1163 in Fouvent, Frankreich.
    Kinder:
    1. 12. Humbert III. de Fouvent wurde geboren in cir 1148; gestorben in 1196 in Fouvent, Frankreich.

  7. 28.  S.I. de Broyes

    S.I. + Herrin Félicité von Brienne. Félicité (Tochter von Graf Érard I. (Erhard)Erhard I. von Brienne und Alix von Ramerupt (Montdidier)) gestorben in 1178. [Familienblatt] [Familientafel]


  8. 29.  Herrin Félicité von BrienneHerrin Félicité von Brienne (Tochter von Graf Érard I. (Erhard)Erhard I. von Brienne und Alix von Ramerupt (Montdidier)); gestorben in 1178.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Herrin von Ramerupt
    • Titel (genauer): Lady of Ramerupt
    • Titel (genauer): Dame de Ramerupt

    Kinder:
    1. 14. Herr Hugues III. de Broyes

  9. 30.  Graf Rainald I. von Bar, (von Mousson) (Scarponnois), der Einäugige Graf Rainald I. von Bar, (von Mousson) (Scarponnois), der Einäugige wurde geboren in cir 1090 (Sohn von Graf Dietrich I. von Mousson-Scarponnois und Gräfin Ermentrud von Burgund); gestorben am 10 Mrz 1149 in Mittelmeer.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Graf von Bar Verdun und Mousson (1102/1105), Vogt von Saint-Pierremont
    • Titel (genauer): Count of Bar (1105–1149)
    • Titel (genauer): Comte de Bar Seigneur de Mousson (de 1105 à 1149) Comte de Verdun (de 1105 à 1134)
    • Titel (genauer): 1105-1149, Herzogtum Bar; Graf von Bar https://de.wikipedia.org/wiki/Herzogtum_Bar

    Notizen:

    English: https://en.wikipedia.org/wiki/Reginald_I,_Count_of_Bar

    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Renaud_Ier_de_Bar



    https://de.wikipedia.org/wiki/Rainald_I._(Bar)

    Rainald I. der Einäugige (franz: Renaud le Borgne; † 1149) war seit 1102/1105 ein Graf von Bar, Verdun und Mousson sowie Vogt von Saint-Pierremont aus dem Haus Scarponnois. Er war ein Sohn des Grafen Dietrich I. von Mousson-Altkirch und der Ermentrude von Burgund, einer Tochter des Grafen Wilhelm I. von Burgund.

    Bei der Inbesitznahme seines Erbes stieß Rainald auf die offene Ablehnung der Bürger von Verdun. Bei einer gewalttätigen Auseinandersetzung mit ihnen zog er sich eine Verletzung zu, die zum Verlust eines Auges führte. Er gründete bei Commercy eine Prämonstratenserabtei, die Burg von Commercy selbst verpfändete er 1106 an das Kloster von Saint-Mihiel.
    Den Investiturstreit zwischen Kaiser Heinrich V. und Papst Paschalis II. versuchte Rainald für persönliche Ziele zu nutzen und nahm päpstliche Legaten gefangen. Der Bischof von Verdun, Richard de Grandpré, erklärte ihm im Gegenzug der Burgen von Dieulouard und Stenay für verlustig, die dem Grafen von Luxemburg übertragen wurden. In dem daraus resultierenden Krieg wurde Bar-le-Duc 1114 von Kaiser Heinrich V. eingenommen und Rainald in Kerkerhaft gelegt. Er wurde aber bald wieder freigelassen, nachdem er dem Kaiser gehuldigt hatte.
    Im Jahr 1120 wurde die Grafschaft Verdun vom Kaiser konfisziert und an den Grafen von Grandpré vergeben, weil Rainald die Installierung Heinrichs von Blois zum Bischof von Verdun militärisch unterstützt hatte. Im Jahr 1124 leistete Rainald einen vertraglichen Verzicht auf Verdun.
    Rainald erhob als entfernter Verwandter Gottfrieds von Bouillon gegen den Bischof von Lüttich Anspruch auf die Burg von Bouillon, die er 1134 auch eroberte. Im Jahr 1141 unternahm der Bischof einen Rückeroberungsversuch. Dabei starb Rainalds Sohn, Hugo, worauf er die Burg am 22. September 1141 aufgab.
    Zusammen mit seinen Söhnen, Rainald II. und Dietrich, und dem Bruder Stephan nahm Rainald seit 1147 am zweiten Kreuzzug teil. Er starb 1149 auf See während der Rückreise in die Heimat. Bestattet wurde er in der Abtei von Saint-Mihiel.
    Er war verheiratet mit Gisela von Vaudémont, einer Tochter des Grafen Gerhard I. von Vaudémont.

    Weblinks
    • Die Grafen von Bar bei Medieval Lands

    Rainald heiratete Gräfin Gisela von Vaudémont (von Lothringen) in zw 1108 und 1112. Gisela (Tochter von Graf Gerhard I. von Vaudémont (von Lothringen) und Gräfin Heilwig (Helwidis Hedwig) von Egisheim) gestorben in vor 1127. [Familienblatt] [Familientafel]


  10. 31.  Gräfin Gisela von Vaudémont (von Lothringen)Gräfin Gisela von Vaudémont (von Lothringen) (Tochter von Graf Gerhard I. von Vaudémont (von Lothringen) und Gräfin Heilwig (Helwidis Hedwig) von Egisheim); gestorben in vor 1127.

    Notizen:

    Gisela (1090 † 1141), ∞ I Renard III. Graf von Toul; ∞ II Rainald I. († 1149), Graf von Bar (Haus Scarponnois)

    Notizen:

    Rainald I. und Gisela hatten sieben Kinder, drei Söhne und vier Töchter.
    - Hugo († September 1141 in Bouillon)
    - Rainald II. († 25. November 1170), Nachfolger als Graf von Bar
    - Dietrich († 8. August 1171), um 1128 Erzdiakon von Metz, 1156 Erzdiakon von Verdun, 1163 Bischof von Metz
    - Agnes, ∞ Albert Graf von Chiny (Haus Chiny)
    - Klementia, 1. ∞ mit Graf Rainald II. von Clermont, 2. ∞ mit Theobald von Nanteuil-le-Haudouin
    - Mathilde, ∞ mit Wildgraf Konrad von Kyrburg
    - Stephanie, Erbin von Commercy, ∞ mit Hugo III. von Broyes und Châteauvillain

    Kinder:
    1. Graf Rainald II. von Bar, (von Mousson) (Scarponnois), der Junge wurde geboren in 1115; gestorben am 25 Jul 1170; wurde beigesetzt in Abtei Saint-Mihiel.
    2. Clementia von Bar, (von Mousson) (Scarponnois)
    3. 15. Stéphanie de Bar-Commercy wurde geboren in cir 1125; gestorben in vor 1178.


Generation: 6

  1. 32.  Herr Savary (Savaricus, Severicus) de Châtel-Censoir gestorben am 1120 oder später.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Herr von Châtel-Censoir
    • Titel (genauer): Lord of Châtel-Censoir
    • Titel (genauer): Seigneur de Châtel-Censoir

    Notizen:

    Savaric (Severicus) († 1120 ou apr.)mdlnds 17 seigneur de Châtel-Censoir (il existe une possibilité que ce soit Savaric, plutôt que sa femme Elisabeth, qui soit l'enfant de Eudes de Beaune, bien qu'au moins un texteN 4 suggère l'ordre suivi ici). Savaric est aussi cité comme seigneur de Vergy, qui lui est peut-être apporté par son mariage ; et comme comte de Châlon. Vers 1096 il achète de son neveu Geoffroy de DonzyN 5, qui part à Jérusalem, la moitié du comté de Châlon puis revend cette moitié à Gauthier évêque de Chalon ; lors de cette vente son fils Simon est marié mais pas Hervé. Le 16 février 1107 Savaric est témoin lorsque Hugues II duc de Bourgogne confirme sa protection de l'abbaye Saint-Bénigne de Dijon. Après 1113 il vend Châtelet-Chalon à Hugues II de Bourgogne.
    Elisabeth a six enfants, dont quatre avec Savaric ; ses deux derniers enfants semblent être issus d'un remariage

    Savary + Herrin Elisabeth von Beaune (Vergy). Elisabeth (Tochter von Vizegraf Odo (Eudes) von Beaune) gestorben in nach 1115. [Familienblatt] [Familientafel]


  2. 33.  Herrin Elisabeth von Beaune (Vergy)Herrin Elisabeth von Beaune (Vergy) (Tochter von Vizegraf Odo (Eudes) von Beaune); gestorben in nach 1115.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Vergy; Herrin von Vergy

    Notizen:

    Elisabeth de Vergy († apr. 1115), dame de VergyN 4. Début xiie (charte non datée) elle donne des biens à Cîteaux. En 1120 ou 1124, elle redonne à Saint-Étienne de Dijon la manse de la "villa…Modeliacus", futur Meuilleymdlnds 16 (ce qui sous-entend clairement qu'un de sa famille l'avait volé des moines en premier lieu) ; elle autorise les moines de Saint-Germain-des-Prés à donner à Cîteaux des terres "apud Gilliacum" acquises de "Aimonem et conjugem eius Waronem...et Widonem filios eiusdem" (Aimon et sa conjointe Waro... et leur fils Wido).

    Kinder:
    1. 16. Simon de Vergy gestorben in nach 1131.

  3. 48.  Herr Humbert II. (Sohn von Herr Humbert I. von Fouvent).

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Herr von Fouvent

    Kinder:
    1. 24. Girard de Fouvent wurde geboren in cir 1125; gestorben in 1171 in Palästina.

  4. 50.  Richard II. de MontfauconRichard II. de Montfaucon (Sohn von Herr Amadeus I. von Montfaucon und Méléryle von Neuenburg).

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Montfaucon_(Doubs)

    Montfaucon ist eine Gemeinde im französischen Département Doubs in der Region Bourgogne-Franche-Comté.

    Geographie
    Montfaucon liegt auf 510 m, etwa vier Kilometer östlich der Stadt Besançon (Luftlinie). Das Dorf erstreckt sich im westlichen Jura an aussichtsreicher Lage auf der Jura-Randkette (Côte) zwischen dem tief eingeschnittenen Doubstal im Nordwesten und dem sogenannten ersten Juraplateau (Becken von Saône) im Südosten, auf der Südabdachung der Höhe von Montfaucon.
    Die Fläche des 7,25 km² großen Gemeindegebiets umfasst einen Abschnitt des westlichen französischen Juras. Die nordwestliche Grenze verläuft entlang dem Doubs, der hier tief eingeschnitten zwischen dem Mont de Brégille und der Côte nach Südwesten fließt. Vom Flusslauf erstreckt sich das Gemeindeareal nach Südosten über einen steilen Hang bis auf die Jura-Randkette, die in geologisch-tektonischer Hinsicht eine Antiklinale des Faltenjuras bildet. Der Steilhang wird durch mehrere kurze Erosionsrinnen in verschiedene Vorsprünge untergliedert. Er ist an einigen Orten von Felsbändern durchzogen (Kletterfelsen Roches d’Arbois). Mit 614 m wird beim Fort de Montfaucon die höchste Erhebung von Montfaucon erreicht. Auch der bewaldete Südhang der Jura-Randkette gehört zu Montfaucon. Die Grenze verläuft hier entlang dem Fuß der Kette am Nordrand des ausgedehnten Sumpfgebietes Marais de Saône, das einen Teil des ersten Juraplateaus einnimmt.
    Zu Montfaucon gehört der Weiler La Malate (250 m) im Doubstal. Nachbargemeinden von Montfaucon sind Chalèze im Norden, Gennes im Osten, Saône und Morre im Süden sowie Besançon und Chalezeule im Westen.

    Geschichte
    Die Ortsgeschichte von Montfaucon beginnt um die Mitte des 11. Jahrhunderts, als sich Béraud de Montfaucon, ein Vasall des Grafen von Burgund und des Erzbischofs von Besançon hier niederließ. Der Standort der ersten Holzburg ist jedoch unbekannt. Die Herren von Montfaucon stiegen rasch zu einem der wichtigsten Adelsgeschlechter der Franche-Comté auf. Durch eine Heirat wurde Richard de Montfaucon 1148 zugleich Graf von Montbéliard, was bis zum Erlöschen der Linie Ende des 14. Jahrhundererts Bestand hatte. Wahrscheinlich Mitte des 13. Jahrhunderts wurde die Burg von Montfaucon an den heutigen Standort auf einem Vorsprung über dem Doubstal verlegt. Daneben entwickelte sich der befestigte Burgflecken Montfaucon, der seit 1311 eine Pfarrkirche besaß. 1415 ging die Herrschaft Montfaucon durch Heirat an Louis von Chalon-Arlay aus dem Haus Oranien, das die Herrschaft bis zur Französischen Revolution innehatte. Nach dem Einmarsch Ludwig XI. in die Franche-Comté wurde die Burg 1477 teilweise zerstört.
    Zu Beginn des 16. Jahrhunderts wurden die ersten Einzelhöfe im Bereich des heutigen Dorfkerns erbaut (genannt Montfaucon-les-Granges). Der Dreißigjährige Krieg führte zum Niedergang des Schlosses und des Burgfleckens. Zusammen mit der Franche-CoComté gelangte das Dorf mit dem Frieden von Nimwegen 1678 definitiv an Frankreich. Das ehemalige Montfaucon-les-Granges entwickelte sich zum neuen Ortskern. Als Mitte des 18. Jahrhunderts die Kirche von Vieux-Montfaucon baufällig wurde, entschied man sich, eine neue Kirche im Zentrum des neuen Ortes zu errichten.
    Lange Zeit landwirtschaftlich geprägt, entwickelte sich Montfaucon nach dem Deutsch-Französischen Krieg zum Garnisonsort. Auf der Höhe von Montfaucon wurden 1871 das Fort Vieux und von 1874 bis 1878 das Fort Neuf (heute Fort de Montfaucon) als Teil des Festungssystems um Besançon erbaut. Ende des 19. Jahrhunderts begann die Abwanderung der Dorfbevölkerung nach Besançon, die 1905 mit der Verlegung der 350 Mann starken Garnison nach Besançon noch beschleunigt wurde.

    Sehenswürdigkeiten
    Die Kirche Notre-Dame de la Nativité wurde von 1775 bis 1785 im klassischen Stil erbaut. Vom ehemaligen Château de Montfaucon aus dem 13. Jahrhundert sind die Ruinen erhalten. Auf der Höhe befinden sich die Festungsanlagen des Fort Vieux und des Fort de Montfaucon. Am Standort des Sendeturms bietet sich eine gute Aussicht auf das Doubstal und die nähere und weitere Umgebung. An die Römerzeit erinnern wenige Überreste einer Wasserleitung, die von Arcier nach Vesontio (Besançon) führte.

    Bevölkerung
    Mit 1513 Einwohnern (Stand 1. Januar 2014) gehört Montfaucon zu den kleineren Gemeinden des Département Doubs. Nachdem die Einwohnerzahl in der ersten Hälfte des 20. Jahrhunderts stets im Bereich zwischen 250 und 340 Personen gelegen hatte, wurde seit Beginn der 1960er Jahre ein markantes Bevölkerungswachstum verzeichnet. Seither hat sich die Einwohnerzahl vervierfacht.

    Wirtschaft und Infrastruktur
    Montfaucon war bis weit ins 20. Jahrhundert hinein ein vorwiegend durch die Landwirtschaft (Ackerbau, Obstbau und Viehzucht) geprägtes Dorf. Daneben gibt es heute einige Betriebe des lokalen Kleingewerbes. Mittlerweile hat sich das Dorf auch zu einer Wohngemeinde gewandelt. Viele Erwerbstätige sind deshalb Wegpendler, die in der Agglomeration Besançon ihrer Arbeit nachgehen.
    Die Ortschaft liegt zwar abseits der größeren Durchgangsstraßen, ist aber trotzdem verkehrstechnisch gut erschlossen. Die Hauptzufahrt erfolgt von der Passhöhe Trou du Loup an der Hauptstraße N57, die von Besançon nach Pontarlier führt. Der nächste Anschluss an die Autobahn A36 befindet sich in einer Entfernung von ungefähr 14 km. Weitere Straßenverbindungen bestehen mit Fontain, Saône und Bouclans.


    Weblinks
     Commons: Montfaucon (Doubs) – Sammlung von Bildern, Videos und Audiodateien
    • Offizielle Website der Gemeinde Montfaucon (französisch)

    Richard + Sophia von Montbéliard. Sophia (Tochter von Graf Dietrich II. (Thierry) von Mömpelgard (von Montbéliard)) gestorben in 1148. [Familienblatt] [Familientafel]


  5. 51.  Sophia von MontbéliardSophia von Montbéliard (Tochter von Graf Dietrich II. (Thierry) von Mömpelgard (von Montbéliard)); gestorben in 1148.
    Kinder:
    1. Graf Amadeus II. von Montfaucon-Mömpelgard (Montbéliard) wurde geboren in 1130; gestorben in 1195.
    2. Erzbischof Dietrich II. von Montfaucon wurde geboren in cir 1130; gestorben am 15 Nov 1190 in Schlachtfeld vor Akkon, Israel.
    3. 25. Clémentine de Montfaucon wurde geboren in cir 1130; gestorben in 1163 in Fouvent, Frankreich.

  6. 56.  Herr Hugues II. de BroyesHerr Hugues II. de Broyes (Sohn von Barthélemy de Broyes und Élisabeth von Valois (von Vexin)); gestorben in 1110/1121.

    Notizen:

    Hugues II de Broyes, dit "Bardoul", (? - 1110/21)12. Seigneur de Broyes, de Beaufort, de Baye, de Trie-le-Bardoul et de Charmentray. N'ayant pas atteint la majorité au décès de son père le gouvernement des terres de Broyes fut assurer provisoirement par Étienne II de Blois1.

    Mariage et succession :
    Il épouse avant 1089 Emmeline, (? - 1121), dame de Villenauxe-la-Grande, fille de Milon Ier de Montlhéry et de Lithuise de Soissons, de qui il a :

    Simon Ier qui suit,
    Barthélemy,
    Marie13.



    Liste des seigneurs de Broyes
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_seigneurs_de_Broyes

    Hugues heiratete Emmeline de Villenauxe-la-Grande in vor 1089. Emmeline gestorben in 1121. [Familienblatt] [Familientafel]


  7. 57.  Emmeline de Villenauxe-la-Grande gestorben in 1121.
    Kinder:
    1. 28. S.I. de Broyes

  8. 58.  Graf Érard I. (Erhard)Erhard I. von BrienneGraf Érard I. (Erhard)Erhard I. von Brienne wurde geboren in cir 1070 (Sohn von Graf Walter I. von Brienne und Eustachia von Tonnerre); gestorben in vor 1125.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Englischer Name: Erard I, of Brienne
    • Französischer Name: Érard I. de Brienne
    • Titel (genauer): Count of Brienne
    • Titel (genauer): Comte de Brienne
    • Titel (genauer): 1089-1125, Grafschaft Brienne; Graf von Brienne https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Brienne

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Érard_I._(Brienne)

    Érard I. († vor 1125) war ein Graf von Brienne aus dem Haus Brienne. Er war der ältere Sohn des Grafen Walter I. von Brienne und der Eustachie von Tonnerre.

    Verheiratet war er mit der Erbtochter des Andreas von Ramerupt aus dem Haus Montdidier.[1][2]

    Einer Urkunde der Abtei Montier-en-Der aus dem Jahr 1114 zufolge begab sich Érard I. in diesem Jahr auf eine bewaffnete Pilgerreise in das heilige Land.[3] Damit begründete er die generationenlange Kreuzfahrertradition seiner Familie. Sein Sohn wird erstmals 1125 als Graf von Brienne genannt.

    Einzelnachweise
    Alberich von Trois-Fontaines, Chronica, hrsg. Paul Scheffer-Boichorst in: Monumenta Germaniae Historica SS 23 (1874), S. 818
    Genealogiæ scriptoris Fusniacensis §11, hrsg. von Georg Heinrich Pertz, in: Monumenta Germaniae Historica SS 13 (1881), S. 254
    Catalogue des actes des Seigneurs de Joinville Nr. 19, hrsg. von Henri-François Delaborde in: Jean de Joinville et les seigneurs de Joinville (1894), S. 245–246
    Weblink
    Comtes de Brienne bei Foundation for Medieval Genealogy.ac (englisch)



    English: https://en.wikipedia.org/wiki/Erard_I,_Count_of_Brienne

    Erard I, Count of Brienne (1060–1114) was Count of Brienne at the end of the 11th century. He was the son of Gautier I of Brienne, count of Brienne, and his wife Eustachie of Tonnerre.

    In 1097 he fought in the First Crusade.

    In 1110 he married Alix of Roucy-Ramerupt, daughter of André de Montdidier-Roucy, seigneur de Ramerupt. They had 3 children :

    Gautier II of Brienne, count of Brienne and lord of Ramerupt.
    Guy of Brienne
    Félicité of Brienne, who married Simon I of Broyes then in 1142 Geoffroy III, sire de Joinville.



    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Érard_Ier_de_Brienne

    Érard Ier de Brienne (né vers 1070, † entre 1114 et 1125) est un comte de Brienne du xie siècle. Il est fils de Gautier Ier, comte de Brienne et d'Eustachie de Tonnerre.

    Biographie
    Il participe en 1097 à la première croisade et est probablement présent lors de la prise de Jérusalem par les croisés en 10991. Il serait rentré en Champagne dans l'année 11012.

    En 1112, il aide à la fondation de l'abbaye de Beaulieu et leur donne une partie de ce qu'il possède à Jasseines, une partie de la rivière d'Aube et droit d'usage dans ses bois et de pâturage dans tout son comté2.

    Tout comme son père avant lui, Érard a été en litige avec l'Abbaye de Montier-en-Der dont il aurait violé les droits. Après sommations, Hugues Ier, comte de Champagne dut prendre les armes pour le faire renoncer à ses prétention par des guerres et des sièges2.

    Alors qu'il se trouvait gravement malade à Avenay, il demanda à son frère Milon II de Bar-sur-Seine de le faire enterrer à Montier-en-Der et de donner aux moines une rémunération convenable. Ses fils Gautier II et Guy donneront leur aval sur ces dispositions2.

    A sa mort, il est inhumé à l'Abbaye de Montier-en-Der3.

    Mariage et enfants
    En 1110, il épouse Alix de Roucy-Ramerupt, fille d'André de Montdidier-Roucy, seigneur de Ramerupt, et d'Adelisa (nom de famille inconnu) qui donne naissance à 3 :

    Gautier II de Brienne, comte de Brienne et seigneur de Ramerupt.
    Gui de Brienne, décédé entre 1143 et 1147.
    Félicité de Brienne, qui épouse Simon Ier de Broyes puis en 1142 Geoffroy III, sire de Joinville.



    Sources
    Marie Henry d'Arbois de Jubainville, Histoire des Ducs et Comtes de Champagne, 1865.
    Marie Henry d'Arbois de Jubainville, Catalogue d'actes des comtes de Brienne, 950-1356..., 1872.
    Articles connexes
    Ville de Brienne-le-Château
    Maison de Brienne
    Château de Brienne
    Maison de Montdidier-Roucy
    Notes et références
    ↑ Arthur Prévost, les champenois aux Croisades
    ↑ a, b, c et d Marie Henry d'Arbois de Jubainville, Catalogue d'actes des comtes de Brienne, 950-1356...
    ↑ a et b Foundation for Medieval Genealogy [archive].

    Érard + Alix von Ramerupt (Montdidier). [Familienblatt] [Familientafel]


  9. 59.  Alix von Ramerupt (Montdidier)Alix von Ramerupt (Montdidier) (Tochter von Herr Andreas von Ramerupt (Montdidier) und Adèle).

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Herrin von Ramerupt
    • Titel (genauer): Lady of Ramerupt
    • Titel (genauer): Dame de Ramerupt

    Notizen:

    Alix, 1108/43 bezeugt, Dame de Ramerupt, gründet 1143 die Abtei Notre-Dame de Bassefontaine in Brienne-la-Vieille.



    English: https://en.wikipedia.org/wiki/House_of_Montdidier

    Français: https://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_de_Montdidier-Roucy



    https://de.wikipedia.org/wiki/Montdidier_(Adelsgeschlecht)

    Montdidier war eine Familie des nordfranzösisches Adels, das erstmals Mitte des 10. Jahrhunderts als Grafen von Montdidier auftrat.

    Geschichte
    Durch Heirat gelangten die beiden Linien der Familie in den Besitz der Grafschaft Dammartin und der Grafschaft Roucy, die allerdings beide mangels männlicher Nachkommen im 12. bzw. 13. Jahrhundert wieder verloren gingen.

    Die bekanntesten Familienmitglieder sind Ebles II., der um 1073 in der spanischen Reconquista aktiv war, ein Schwiegersohn des Normannenfürsten Robert Guiscard, seine Schwester Félicie, die 1076 König Sancho I. von Aragón und Navarra heiratete, sowie (in Deutschland) dessen Sohn Hugo, ein Schwiegersohn des Stauferherzogs Friedrich I. von Schwaben.[1]

    Stammliste
    NN
    Hilduin I., † vor 956, nach 923 Graf von Montdidier
    Hilduin, Graf von Arcis-sur-Aube iure uxoris; ∞ Hersende, 970 als Gräfin bezeugt, Dame de Ramerupt
    Manasses, † 991, 970 Bischof von Troyes
    Hilduin II., comes, Seigneur de Ramerupt, 992 bezeugt
    Hilduin III., comes, Seigneur de Ramerupt; ∞ Adèle, † 1062, Erbin von Roucy (Roucy)
    Hilduin IV., 1032 bezeugt, † 1063, Graf von Montdidier, Seigneur de Ramerupt, 1061 Graf von Roucy; ∞ Adèle, Erbin von Roucy, † 1062, Tochter von Ebles I., Graf von Roucy (Haus Roucy)
    Ebles II., † Mai 1103, 1063 Graf von Roucy ; ∞ vor 1082 Sibille, Tochter von Robert Guiskard, Herzog von Apulien (Hauteville (Familie))
    Guiscard
    Hugues Cholet, 1104/58 bezeugt, † wohl 1160, Graf von Roucy, Seigneur de Nizy-le-Comte et de Sévigny; ∞ I Aveline, 1117 bezeugt; ∞ II Richilde von Schwaben, 1139/47 bezeugt, † vor 1154, Tochter von Friedrich I., Herzog von Schwaben (Stammliste der Staufer)
    (I) Ada, 1172 bezeugt; ∞ Gaucher II., Châtelain de Châtillon-sur-Marne, Seigneur de Troissy, de Montjay et de Crécy, 1134 bezeugt, X 19. Januar 1147 in Laodikäa (Haus Châtillon)
    (II) Robert Guiscard, 1147/78 bezeugt, † vor 1181, 1164 Graf von Roucy; ∞ vor 1154 Elisabeth de Mareuil, Dame de Neufchâtel-sur-Aisne, 1132/1207 bezeugt, Tochter von Jean, Vizegraf von Mareuil, Seigneur de Neufchâtel, Witwe von Robert, Seigneur de Montaigu (Haus Pierrepont), heiratete in dritter Ehe vor 1202 Renaud de Montdiviel
    Raoul I., 1166 bezeugt, † 1196, Graf von Roucy; ∞ Isabeau (Melisende) de Coucy, Tochter von Raoul, Seigneur de Coucy (Haus Boves), heiratete in zweiter Ehe Henri III., Graf von Grandpré († 1211)
    Tochter, 1181 Nonne in Plesnois
    Jean I., 1166/91 bezeugt, † 1200, Graf von Roucy
    Eustachie, 1190/1209 bezeugt, † wohl vor 1211, 1206 Gräfin von Roucy; ∞ 1190 Robert, Seigneur de Pierrepont, 1183 exkommuniziert, 1200 bezeugt, † vor 1209 (Haus Pierrepont)
    Ebles, 1180 Kanoniker in Reims
    Henri, † 1196
    Beatrix, † 1180
    (II) Ebles, 1147/54 bezeugt
    (II) Hugues, Seigneur de Thony, Seigneur du Bois 1154/66 ; ∞ Eve de Courlandon – Nachkommen : die Herren von Le Bois, Manre, Villette, Chalendry und Chastay
    (II) Clémence, 1154 bezeugt; ∞ I Renaud, Seigneur de Rozoy-en-Thiérache; ∞ II Guermond de Châtillon, Seigneur de Savigny (Haus Châtillon)
    (II) Havoie
    (II) Sara genannt Agnès, 1154 bezeugt; ∞ Gui, Seigneur de Soupir
    (II) Sibille, 1154 bezeugt
    Thomas, † klein
    Ebles
    Ebles
    Manassès
    Thomas, 1157 bezeugt
    Petronille, 1157 bezeugt; ∞ Raoul, Graf von Vieille-Ville
    Ermengarde, 1157 bezeugt; ∞ Gervais, 1151 Seigneur de Bazoches-sur-Vesles, 1134/67 bezeugt, † vor 1169
    Mabile (Mamilia), † bald nach 1122; ∞ I Hugues du Puiset, Graf von Jaffa, † wohl 1112; ∞ II Albert von Namur, Graf von Jaffa, † kurz vor 1122
    Agnès ; ∞ vor 1119 Simon II. Graf von Clefmont, Seigneur de Ribemont, 1098/um 1130 bezeugt
    André, † nach 1118, Seigneur de Ramerupt et d'Arcis-sur-Aube 1093–1096; ∞ I Adèle; ∞ II Guisemode, Schwester von Baudouin, Mönch in Molesme, Witwe von Hugues, Seigneur de Pleurs
    (I) Hugo Britto, 1102/08 Graf, in Spanien
    (I) Olivier
    (I) Ebles, † 21. Januar 1126, Seigneur de Ramerupt, wohl 1103/04 Archidiakon in Laon, 1121/26 Bischof von Châlons
    (I) Alix, 1108/43 bezeugt, Dame de Ramerupt, gründet 1143 die Abtei Notre-Dame de Bassefontaine in Brienne-la-Vieille; ∞ Erard I., Graf von Brienne, † 1114/25, bestattet in der Abtei Montier-en-Der (Haus Brienne)
    (I) Tochter; ∞ Jean, Vizegraf von Mareuil
    Felicie, † 3. Mai 1123; ∞ 1076 Sancho I. Ramirez, König von Aragón, 1076 König von Navarra, † 4. Juni 1094
    Hugues, 1060 bezeugt
    Beatrix, † 2. September nach 1129; ∞ Godefroid I., Graf von Perche, † Mitte Oktober 1100
    Marguerite ; ∞ Hugues I., Graf von Clermont-en-Beauvaisis, genannt Hugues de Mouchy, 1067 bezeugt (Haus Clermont)
    Ermentrude, 1072/1102 bezeugt; ∞ Thibaut I., Graf von Reynel, † vor 11. April 1101
    Ada, um 1095 bezeugt, bestattet in der Abtei Liessies ; ∞ I Geoffroy, Seigneur de Guise; ∞ II Walter, Herr von Ath; ∞ III Thierry, Seigneur d’Avesnes, † wohl 1106
    Adèle, † 1068/69, bestattet in der Abtei St. Hubert in den Ardennen; ∞ Arnold II., Graf von Chiny, † 16. April 1106 (Haus Chiny)
    Adélaide; ∞ Conon, genannt Falcon de la Sarraz, um 1087/110 bezeugt, † vor 1114
    Manassès Calva Asina, 1031/53 bezeugt, 1053 Vidame de Reims; ∞ Beatrix von Hennegau, geschieden von Ebles I., Graf von Roucy, Tochter von Reginar IV., Graf von Hennegau (Reginare) und Havide von Frankreich (Stammliste der Kapetinger)
    Manassès, 1095/1106 Erzbischof von Reims
    Guy de Neufchâtel, † vor 1103
    Adèle, Äbtissin von Notre-Dame in Laon
    Isabelle; ∞ I Bouchard II. Graf von Corbeil, X vor 1101 (Rolloniden); ∞ II Gui I. le Rouge, Graf von Rochefort, Seigneur de Gournay-sur-Marne (Haus Montlhéry)
    Manassès, X 15. Dezember 1037 Ornel, 1025 Graf von Dammartin, bestattet in Saint-Vannes in Verdun; ∞ Constance (wohl Constance de Dammartin)
    Eudes, Graf von Dammartin nach 1050–60/61
    Hugues I., 1071 Graf von Dammartin, 1075 Seigneur de Bulles, † wohl 1100; ∞ Roharde, Schwester von Ascalin de Bulles
    Sohn, † vor 1081
    Pierre, 1081 bezeugt, † 13. September 1105/06 Château de Rosnay (Champagne), Graf von Dammartin ; ∞ Eustachie, 1107 bezeugt
    Sohn, 1107 bezeugt
    Basilie, 1081 bezeugt
    Adèle de Bulles, 1081/1193 bezeugt ; ∞I Aubri de Mello, † jung (Haus Mello) ; ∞ II Lancelin (wohl Lancelin II. de Beauvais), 1112/16 Verweser der Grafschaft Dammartin – die Nachkommen aus erster Ehe sind die späteren Grafen von Dammartin
    (II) Manassès, 1114/71 bezeugt, 1139 Sire (Vicecomes) de Bulles, gründet 1135 Kloster Beaupré (Picardie), 1142/71 Abt des Klosters Froidmont, bestattet in Beaupré; ∞ Alix de Milly, Tochter von Sagalon, bestattet in Beaupré
    (II) Renaud, 1114/62 bezeugt, † vor 1167, wohl 1138 Graf von Dammartin, 1149 Seigneur de Bulles; ∞ I Marguerite de Senlis, Tochter von Guillaume Loup, Bouteiller de France; ∞ II Euphémie de Picquigny, 1144 bezeugt, 1149 geistlich in Garanville, Tochter von Guermond de Picquigny, Vidame d’Amiens
    (II) Thibaut, 1114/um 1167 bezeugt, † vor 1172, 1149 Seigneur de Bulles, 1123/49 Archidiakon, 1139 Domthesaurarius in Beauvais
    (II) Rohes, 1144 bezeugt
    (II) Lancelin, 1134/49 bezeugt, 1149 Seigneur de Bulles, Graf von Dammartin; ∞ Clémence, 1153 bezeugt
    (II) Beatrix
    (II) Mabilie
    (II) Basilie; ∞ wohl Dreux de Mello, 1136 bezeugt (Haus Mello)
    Eustachie, 1081 bezeugt


    Einzelnachweise
    Schwennicke Band I.1 Tafel 14 (Die Staufer…) führt keine Tochter Friedrichs I. auf, die mit Hugo von Roucy verheiratet war, allerdings in der hier benutzten Tafel; es gilt: (1) Alberich von Trois-Fontaines erwähnt die Ehefrau Hugos ohne Namensnennung als Schwester von Kaiser Konrad ("comes Hugo Cholez" und "ut dicitur, imperatoris Conradi", Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1119, MGH SS XXIII, S. 823.), (2) Hugo beschenkte die Kirche in Épernay für das Seelenheil seiner Ehefrau Richildis mit Einverständnis u. a. seines Sohnes (aus dieser Ehe) Robert Guiscard ("Hugo comes Roceiensis" … "ecclesiam…in Eberneicurte" … "uxoris Richildis pie memorie" … "filiorum meorum Roberti Wiscardi et uxoris eius Elisabeth, Ebali et Hugonis et filiarum mearum Clementie, Sibille et Sare que cognominatur Agnes", Dokument von 1154 (Godefroid Kurth (Hg.) (1903) Chartes de l´abbaye de Saint-Hubert en Ardenne, Band I, XCII, S. 117)
    Literatur
    Père Anselme: Histoire généalogique et chronologique de la maison royale de France, des pairs, grands officiers de la Couronne, de la Maison du Roy et des anciens barons du royaume...., par le P. Anselme,... ; continuée par M. Du Fourny, 3. Ausgabe (1726–1733) Band 8, S. 861–880 online
    Detlev Schwennicke: Europäische Stammtafeln, Band III.4 (1989) Tafel 675B, 676, 677
    Weblink
    Das Haus Roucy bei web.genealogies

    Notizen:

    Ihre Kinder waren:
    - Walter II. († um 1161), Graf von Brienne, Herr von Ramerupt
    - Felicite; 1. ∞ mit Simon I. von Broyes; 2. ∞ mit Gottfried III. von Joinville

    Kinder:
    1. Graf Walter II. von Brienne gestorben in cir 1161.
    2. 29. Herrin Félicité von Brienne gestorben in 1178.

  10. 60.  Graf Dietrich I. von Mousson-ScarponnoisGraf Dietrich I. von Mousson-Scarponnois wurde geboren in cir 1045 (Sohn von Graf Ludwig von Mousson-Scarponnois und Gräfin Sophie von Oberlothringen (von Bar)); gestorben am 2 Jan 1105; wurde beigesetzt in Kathedrale von Autun.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Altkirch, Elsass, FR; Graf in Altkirch https://de.wikipedia.org/wiki/Altkirch
    • Titel (genauer): Pfirt; Graf in Pfirt https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Pfirt
    • Titel (genauer): Compte de Altkirch, Compte de Pfirt, Compte de Bar (de 1093) Compte de Montbéliard (iure uxoris 1065-1105)
    • Titel (genauer): 1093, Herzogtum Bar; Graf in Bar https://de.wikipedia.org/wiki/Herzogtum_Bar
    • Titel (genauer): 1073-1105, Grafschaft Mömpelgard (Montbéliard); Graf von Mömpelgard (Haus Montbéliard) https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Mömpelgard

    Notizen:

    Zitat aus: https://de.wikipedia.org/wiki/Dietrich_von_Mousson

    Dietrich von Mousson († 1102/1105) war ein Graf von Mousson, Altkirch und Pfirt aus dem Haus Scarponnois. Er war ein Sohn des Grafen Ludwig von Mousson und der Sophia von Bar, einer Tochter des Herzogs Friedrich II. von Lothringen.

    Von seiner Mutter erbte er 1093 die Grafschaft Bar und die Vogtei von Saint-Mihiel. Im Jahr 1096 wurde er von Bischof Richer von Verdun mit der Grafschaft Verdun beliehen. Im selben Jahr wollte Dietrich am Ersten Kreuzzug teilnehmen, verblieb wegen einer Erkrankung jedoch in seiner Heimat. Er gründete dafür die Klöster von Biblisheim und Walbourg. 1102 schrieb Dietrich sein Testament auf der Burg von Altkirch und starb wenig später. Bestattet wurde er in der Kathedrale von Autun.

    Dietrich war verheiratet mit Ermentrude von Burgund, einer Tochter des Grafen Wilhelm I. von Burgund. Seine Frau brachte ihm die Grafschaft Mömpelgard in die Ehe, als Witwe gründete sie das Kloster Froidefontaine.

    Mehr unter dem Link oben..

    Name:
    1093 Stifter von Walbourg, um 1100 Stifter von Biblisheim

    Dietrich heiratete Gräfin Ermentrud von Burgund in cir 1076. Ermentrud (Tochter von Graf Wilhelm I. von Burgund, der Grosse und Stephanie von Vienne (von Longwy?)) wurde geboren in cir 1060. [Familienblatt] [Familientafel]


  11. 61.  Gräfin Ermentrud von BurgundGräfin Ermentrud von Burgund wurde geboren in cir 1060 (Tochter von Graf Wilhelm I. von Burgund, der Grosse und Stephanie von Vienne (von Longwy?)).

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Gräfin von Mömpelgard
    • Titel (genauer): Comtesse de Montbéliard

    Notizen:

    Stifterin von Froidefontaine; Schwester von Papst Kalixst II.

    Ermentrude und Dietrich I. hatten acht Kinder, fünf Söhne und drei Töchter.

    Notizen:

    Dietrich I. und Ermentrud hatten acht Kinder, vier Söhne und vier Töchter.
    - Friedrich I. († um 1160), Graf von Pfirt
    - Rainald I. der Einäugige († 1149), Graf von Bar, Mousson und Altkirch
    - Dietrich II. († 1163), Graf von Mömpelgard
    - Ludwig († 1102), nahm am ersten Kreuzzug teil und wurde nach seiner Rückkehr von eigenen Gefolgsleuten ermordet
    - Stephan († 29. Dezember 1163), Erzdiakon und 1120 Bischof von Metz, nahm am zweiten Kreuzzug teil
    - Gunthilde († 21. Februar 1131), erste Äbtissin von Biblisheim
    - Agnes, ∞ mit Graf Hermann II. von Salm (ein Sohn des Gegenkönigs Hermann von Salm)
    - Mathilde, ∞ mit Graf Adalbert von Mörsberg

    Kinder:
    1. Graf Friedrich I. von Bar-Mümpelgard (von Pfirt) gestorben in Aug 1160.
    2. 30. Graf Rainald I. von Bar, (von Mousson) (Scarponnois), der Einäugige wurde geboren in cir 1090; gestorben am 10 Mrz 1149 in Mittelmeer.
    3. Graf Dietrich II. (Thierry) von Mömpelgard (von Montbéliard) gestorben in Jan 1163.
    4. Agnes von Mousson-Scarponnois
    5. Mathilde (Mechthild) von Mousson-Scarponnois

  12. 62.  Graf Gerhard I. von Vaudémont (von Lothringen)Graf Gerhard I. von Vaudémont (von Lothringen) wurde geboren in cir 1057 (Sohn von Herzog Gerhard von Oberlothringen (von Elsass) (Haus Châtenois) und Hedwig von Namur); gestorben in cir 1108.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Grafschaft Vaudémont; Graf von Vaudémont (Haus Alsace)

    Notizen:

    https://de.wikipedia.org/wiki/Gerhard_I._(Vaudémont)

    Gerhard von Elsass (* um 1057; † 1108) war ab 1070 der erste Graf von Vaudémont. Er war der zweite Sohn von Herzog Gerhard von Lothringen.
    Nach dem Tod seines Vaters im Jahr 1070 beanspruchte er einen Teil des Erbes für sich, und verwüstete, um seinen Anspruch zu bekräftigen den südlichen Teil Lothringens. Herzog Dietrich II., sein Bruder, war so stark in seine Auseinandersetzungen um die Nachfolge mit Ludwig, Graf von Mömpelgard und Bar eingebunden, dass er ihm das Saintois überließ, den pagus rund um Vaudémont; Kaiser Heinrich IV. gestand ihm den Titel eines Grafen zu. Ab diesem Zeitpunkt arbeitete er eng mit seinem Bruder zusammen und erfüllte die Aufgabe, die Südgrenze des Herzogtums zu sichern.
    Jean de Bayon berichtet einige Jahrhunderte später, Gerhard sei im Kampf gegen den Herzog von Burgund um 1080 in dessen Gefangenschaft geraten, doch ist er der einzige, der diesen Punkt erwähnt. Tatsächlich jedoch wechselte in dieser Zeit die Oberhoheit über Charmes und Ramberailles, vom Grafen von Vaudémont zum Herzog von Burgund, was Bayons Bericht einige Glaubwürdigkeit verleiht.
    Gerhard wird in vielen klösterlichen Dokumenten erwähnt, als Unterzeichner oder als Zeuge, mit Ausnahme der Zeit zwischen 1097 und 1101 – die Zeit des Ersten Kreuzzugs, was wiederum nahelegt, dass er daran teilgenommen hat, auch wenn kein Chronist eine Teilnahme erwähnt.
    Um 1080 heiratete er Hedwig von Egisheim († um 1126), Tochter von Gerhard, Graf von Egisheim und Dagsburg. Ihre Kinder waren:
    • Hugo I. († 1155)
    • Gisela (1090 † 1141), ∞ I Renard III. Graf von Toul; ∞ II Rainald I. († 1149), Graf von Bar (Haus Scarponnois)
    • Stephanie († 1160/88), ∞ Friedrich I. († 1160), Graf von Pfirt (Haus Scarponnois)
    • Judith († um 1163), Äbtissin von Remiremont, dann Äbtissin von Saint-Pierre-aux-Nonnains in Metz


    Literatur
    • Michel François: Histoire des comtes et du comté de Vaudémont des origines à 1473. Humblot, Nancy 1935.

    Titel (genauer):
    Die Grafschaft Vaudémont (heute im Département Meurthe-et-Moselle) war bereits im 9. Jahrhundert als Grafschaft Saintois bekannt. Sie gehörte zur Grafschaft Toul, von der sie sich im 10. Jahrhundert löste. Zur Grafschaft Vaudémont gehörte das Soulossois.
    Zu Beginn des 12. Jahrhunderts gab der Kaiser das Land an Gerhard I., einen jüngeren Sohn des Herzogs Gerhard von Lothringen, nachdem dieser der Erhebung seines Bruders Dietrich II. zum Herzog von Lothringen zugestimmt hatte. Gerhard I. nahm den Titel eines Grafen von Vaudémont an.
    Vaudémont bleibt im Besitz seiner Nachkommen, erst unter der Oberherrschaft Lothringens, dann unter der der Grafschaft Bar. Durch Heirat kam es an Anseau de Joinville, Sohn von Jean de Joinville, dem Biographen des Königs Ludwig IX. (Ludwig der Heilige).
    Anseaus Enkelin Margarete heiratete Ferry (Friedrich) von Lothringen, den jüngeren Bruder des Herzogs Johann I. Deren Urenkel René folgte 1473 als René II. im Herzogtum.
    Mehr: https://de.wikipedia.org/wiki/Grafschaft_Vaudémont

    Gerhard heiratete Gräfin Heilwig (Helwidis Hedwig) von Egisheim in cir 1080 in Priorat Belleval. Heilwig (Tochter von Graf Gerhard II. von Egisheim (Etichonen) und Richarda N.) gestorben in an einem 29 Jan vor 1126; wurde beigesetzt in Belval. [Familienblatt] [Familientafel]


  13. 63.  Gräfin Heilwig (Helwidis Hedwig) von EgisheimGräfin Heilwig (Helwidis Hedwig) von Egisheim (Tochter von Graf Gerhard II. von Egisheim (Etichonen) und Richarda N.); gestorben in an einem 29 Jan vor 1126; wurde beigesetzt in Belval.

    Anderer Ereignisse und Attribute:

    • Titel (genauer): Egisheim; Gräfin von Egisheim

    Notizen:

    1118, Erbin von Egisheim

    Vermutlich Grossnichte von Papst Leo IX.; Gräfin; 1118 urkundlich bezeugt.

    Name:
    Erbin von Egisheim

    Kinder:
    1. Graf Hugo I. von Vaudémont gestorben in 1155.
    2. 31. Gräfin Gisela von Vaudémont (von Lothringen) gestorben in vor 1127.
    3. Stephanie von Vaudémont gestorben in Dez 1160.
    4. Judith von Vaudémont gestorben in cir 1163.